Carla et Hugo se présentent à l'élection du délégué de classe organisé par mademoiselle Téolait. Une véritable campagne électorale s'organise, et chacun tente de rallier à sa cause les membres du camp adverse.

Elle s’appelle Line, elle a la cinquantaine et elle vient de perdre son mari. Afin de pouvoir garder sa belle maison avec jardin, près d’Angers, elle a décidé de la partager avec trois locataires. Mais alors qu’elle visait une joyeuse et enrichissante cohabitation, c’est l’enfer qui va s’inviter avec la jeune Priscille û ange ou démon ? û, qui cache un redoutable secret de famille. Line en sortira-t-elle indemne ? « La maison », mot magique, lieu de rencontre et de dialogue, est le personnage central de cette comédie où les fous-rires alternent avec les larmes. Du pur Janine Boissard.

Antoine Leiris a perdu sa femme, Hélène Muyal-Leiris, le 13 novembre 2015, assassinée au Bataclan. Accablé par la perte, il n’a qu’une arme : sa plume. À l’image de la lueur d’espoir et de douceur que fut sa lettre « Vous n’aurez pas ma haine », publiée au lendemain des attentats, il nous raconte ici comment, malgré tout, la vie doit continuer. C’est ce quotidien, meurtri mais tendre, entre un père et son fils, qu’il nous offre. Un témoignage bouleversant. Ancien chroniqueur culturel à France Info et France Bleu, Antoine Leiris est journaliste. Vous n’aurez pas ma haine est son premier livre.

Lorsque les forces du mal menacent l'amour et la paix sur Parodia surgissent cinq héros légendaires avec un seul et unique but : nous faire rigoler ! Après "Les Légendaires" et "Les Légendaires - Origines", changement complet de registre avec cette série de gags en une planche qui mettront en scène aussi bien les principaux personnages de la série que leur créateur : le démiurge Maître Pamplemousse.

L’histoire médiévale de la Suisse Normande, ce qu’il s’y est passé à cette époque. Le livre met en évidence onze itinéraires avec des réponses aux questions de patrimoine qu’on peut se poser en se baladant

Après nous avoir fait découvrir les hauts lieux de la Suisse normande médiévale dans la région de Thury-Harcourt, Mireille Thiesse nous emmène à sa suite dans les méandres de l'Orne vers Pont d'Ouilly et Condé-sur-Noireau. En amont du cours de l'Orne et de ses affluents, de nouvelles portes s'ouvrent à Pont-d'Ouilly vers le Bocage condéen, ainsi que vers le pays de Falaise. Elles mènent vers les sites vertigineux de la vallée de la Baize ou de la Rouvre dans l'Orne. Ici, les barons de Tournebu reçoivent les aveux de leurs vassaux. Là, les seigneurs de la Pommeraye y étendent leurs possessions. À proximité, la famille Taisson surveille les gués et les rives, convoitées au Sud par les redoutables de Bellême. Des mottes castrales, des tours de défense, des manoirs fortifiés vont s'ériger sur les promontoires, dans les presqu'îles des méandres de Rouvrou ou de La Courbe, auréolées de légendes. Dans le Cinglais, l'abbaye cistercienne de Barbery affirme à son tour l'assise féodale des Marmion. Entre les riches plaines cultivées et les moulins qui s'activent dans les vallées, ceux-ci veillent sur la prospérité des lieux. En remontant la Druance, les Navarre, après les Montgomery règnent sur la châtellenie de Condé. Les Doulcet vont édifier leur château à Pont Escoulant, tandis qu'à l'est, la famille d'Olliamson bâtit celui de Saint-Germain Langot. Dans cette grande ceinture de la vallée de l'Orne et de ses affluents, s'écrit, d'est en ouest, la suite de « Voyage en Suisse normande médiévale».

Itinéraires à la découverte du patrimoine de la Suisse normande, exploration du sud de la Grande Suisse normande.

Une découverte de ce département français, enrichie de photographies. Electre 2018